Danica Patrick, ancienne pilote de course IndyCar et NASCAR, s’est récemment attiré l’attention en dehors des circuits après avoir exprimé son opposition à la décision de la NFL de mettre en avant Bad Bunny, la sensation musicale portoricaine, comme tête d’affiche du spectacle de la mi-temps du Super Bowl 2026. En publiant un commentaire sarcastique sur X (anciennement Twitter), Patrick a suscité des réactions vives sur les réseaux sociaux. La NFL, de son côté, défend ce choix qui, selon elle, représente l’énergie et la vitalité culturelle mondiale actuelles.
La réaction critique de Danica Patrick à la sélection de Bad Bunny comme artiste principal pour le spectacle de la mi-temps du Super Bowl 2026 a fait sensation. Exprimée sur les réseaux sociaux, l’ancienne pilote de NASCAR et d’IndyCar s’est opposée à la décision de la NFL de choisir l’artiste portoricain pour cet événement médiatisé, arguant que les chansons en anglais devraient être privilégiées pour un tel événement. Cette prise de position a suscité une vive réaction en ligne, certains accusant Patrick de promouvoir des idées exclusionnistes. Cet article explore les tenants et aboutissants de la controverse.
La réaction sarcastique de Danica Patrick
Danica Patrick, une figure bien connue du sport automobile aux États-Unis grâce à sa carrière en NASCAR et en IndyCar, a provoqué un vif débat en ligne après ses commentaires sur la sélection de Bad Bunny pour le Super Bowl. Sur X (anciennement Twitter), Patrick a réagi de manière sarcastique à l’annonce de l’artiste, en décrivant le choix comme « amusant », en raison de la nature prédominante non anglophone de sa musique. Les réactions ne se sont pas fait attendre, beaucoup considérant ses propos comme une attaque contre l’inclusivité et la diversité culturelle, deux aspects qui prennent de plus en plus d’importance sur la scène musicale américaine.
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Éléments politiques et idéologiques
Les commentaires de Patrick tombent dans un contexte où les débats culturels et politiques sont déjà bien présents. En 2024, elle avait exprimé son soutien à l’ancien président Donald Trump, ce qui avait déjà été perçu par certains comme une inclinaison vers des vues plus conservatrices. En choisissant de repartager une affirmation controversée selon laquelle Bad Bunny serait un « marxiste démoniaque, » Patrick a ajouté un élément politique à sa critique. Cela montre à quel point les questions identitaires et politiques sont imbriquées dans les débats autour des choix artistiques de grands événements américains comme le Super Bowl. Vous pouvez lire plus sur les implications politiques ici.
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L’argument de l’inclusivité musicale et culturelle
Le choix de Bad Bunny, reconnu pour ses talents dans le Latin trap et le reggaeton, s’inscrit dans une stratégie de la NFL visant à célébrer la diversité musicale internationale. L’artiste a été choisi pour refléter l’énergie globale et la vibrance culturelle qui caractérisent la scène musicale moderne, selon Jon Barker de la NFL. Bad Bunny jouit d’une popularité mondiale, avec des concerts à guichets fermés et de nombreux titres en tête des classements. La NFL justifie son choix en mettant en avant l’influence mondiale impressionnante de l’artiste et sa capacité unique à relier divers genres, langues et audiences. Paris Match explore également le choix symbolique contre certaines politiques d’exclusion.
La perspective de la NFL
Alors que le choix de Bad Bunny est soutenu par la ligue, cette décision a également soulevé des préoccupations autour de la représentation musicale lors de l’événement. Pour Patrick, les chansons principalement en espagnol de Bad Bunny ne devraient pas dominer une telle scène américaine, une opinion qui a néanmoins reçu des critiques pour son manque d’ouverture culturelle. Les critiques de Patrick ignorent cependant la récente tendance de la mi-temps du Super Bowl à privilégier des artistes de parcours divers, tels que Shakira et Jennifer Lopez. Plus d’informations sur cette tendance peuvent être trouvées ici.
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La défense de Bad Bunny
De son côté, Bad Bunny prend cette opportunité comme un moment de reconnaissance et de célébration, non seulement de sa carrière, mais aussi de la culture portoricaine et latine. Précédemment, l’artiste avait exprimé ses préoccupations quant à la situation politique et sociale aux États-Unis, notamment ses craintes liées à l’attitude d’ICE (Immigration and Customs Enforcement). Ses propos dans i-D magazine illustrent les obstacles parfois rencontrés par les artistes internationaux dans le pays. Malgré cela, l’artiste prend cette prochaine performance comme une victoire pour sa communauté, déclarant que c’est pour son peuple, sa culture et leur histoire. Retrouvez ses propos ici.
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