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EN BREF
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À seulement 24 ans, Loïc Cabanac a réussi un véritable exploit en terminant la mythique Diagonale des fous. Cet ultra-trail, réputé pour être l’un des plus ardus au monde, s’est déroulé sur les terrains escarpés et majestueux de l’île de la Réunion. En 55 heures, Loïc a bravé les éléments pour franchir la ligne d’arrivée avec ténacité et détermination. Son exploit témoigne d’une préparation minutieuse et d’une passion sans bornes pour le trail, inspirant admiration et respect dans le monde du sport.
Loïc Cabanac a accompli un exploit remarquable en terminant la légendaire Diagonale des Fous, un ultra-trail se déroulant sur l’île de La Réunion, en seulement 55 heures et 6 minutes. À peine âgé de 24 ans, Loïc a su surpasser ses limites et affronter les éléments pour devenir l’un des plus jeunes finishers de cette compétition réputée pour sa difficulté extrême. Accompagné du soutien indéfectible de ses parents, amis et coachs, il a livré une performance impressionnante, illustrant à la perfection le résultat d’un entraînement rigoureux et d’une préparation mentale sans faille.
La Soif de Victoire d’un Jeune Traileur
Alors qu’il portait fièrement le dossard 123, Loïc Cabanac s’est élancé au départ de la mythique Diagonale des Fous, une course qui suscite l’admiration et une once de crainte chez les traileurs du monde entier. À 24 ans, il a fait le choix audacieux de relever le défi de cet ultra-trail à La Réunion, un parcours qui couvrait la distance impressionnante de 175,9 km avec un dénivelé vertigineux de 10 100 mètres. Ce trail n’est pas seulement un test physique, mais aussi une bataille mentale, où chaque pas compte et chaque décision peut déterminer l’issue de l’aventure.
Découvrez en images le profil et les horaires des différentes courses de l’UT4M en ultra-trail
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Un Chemin Semé d’Embûches et d’Entrainement
L’expérience de Loïc lors de la Diagonale des Fous ne fut pas son premier essai. En 2023, il avait dû abandonner l’épreuve, un abandon qui n’aura fait que renforcer sa détermination. Cette année, il a travaillé sans relâche sous la houlette de ses coachs, dont Nathalie Buchet Tiffounet pour la préparation mentale, et Laurent Tiffounet en tant que kinésithérapeute-ostéopathe-posturologue. Ensemble, ils ont mis en place un programme d’entraînement méticuleux pour lui permettre d’optimiser ses capacités physiques et mentales.
L’approche de Loïc a été intégrale : alliant des sessions de course, du vélo, à des courses préparatoires, tout était prévu pour provoquer des adaptations techniques et énergétiques. Les conditions climatiques durant l’événement ajoutaient au défi, avec de la pluie, de la boue, et des nuits glacées parfois difficiles à endurer sans sommeil. Pourtant, Loïc a su naviguer à travers ces adversités, en s’offrant même des micro-siestes revigorantes lors des ravitaillements ou en bordure de sentier pour récupérer.
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Le Bonheur d’un Rêve Réalisé
À l’arrivée, après trois jours et deux nuits intenses sur les sentiers de La Réunion, Loïc franchit la ligne en 55 heures et 6 minutes, marquant ainsi un exploit personnel et l’aboutissement d’un rêve longtemps caressé. À son réveil le lendemain, malgré la fatigue accumulée, Loïc était en forme, ressentant simplement quelques douleurs musculaires et une cheville un peu fragile, preuve d’avoir su ménager ses forces avec intelligence.
Le rôle de son entourage fut essentiel. Loïc n’a pas manqué de remercier ses parents, Alain et Sandrine, ainsi que ses amis, pour le soutien logistique et moral tout au long de cette aventure. Les encouragements parvenant de la Métropole furent également une source de réconfort et de motivation lorsqu’il traversait les passages les plus délicats du parcours.
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L’Avenir Radieux d’un Champion en Herbe
Fort de cette expérience enrichissante, Loïc envisage désormais l’avenir avec un esprit encore plus affûté. Malgré son jeune âge, il a prouvé qu’il est possible de réaliser de grandes choses avec de la persévérance et une préparation méthodique. Il envisage déjà de retour sur la Diagonale des Fous après quelques années de travail acharné pour améliorer encore son record personnel.
Cet exploit de Loïc Cabanac résonne comme une source d’inspiration pour tous ceux qui rêvent de se lancer dans le monde exigeant de l’ultra-trail. Son histoire rappelle que la force intérieure et l’entraînement consciencieux permettent de surmonter des obstacles que l’on pensait insurmontables.
Pour suivre et en apprendre davantage sur cette épreuve exigeante ainsi que sur les autres courses emblématiques, rendez-vous sur les sites suivants : La Dépêche, Morning Sport.
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EN BREF – Décès tragique d’Elaine Stypula, ultra-traileuse américaine de 60 ans, lors de la Hardrock 100. – Dramatique arrêt cardiaque survenu après 10 km, dans un secteur réputé escarpé et isolé. – Les secours de Silverton n’ont pas réussi…
L’héritage familial et la passion pour le trail : les clés du succès de Loïc Cabanac
Laisser sa trace lors de la Diagonale des fous n’est pas donné à tout le monde. Ce trail légendaire de 175,9 km, baigné dans la chaleur tropicale et les paysages à couper le souffle de l’île de la Réunion, a vu de nombreux coureurs ployer sous sa rigueur, mais pas Loïc Cabanac. À seulement 24 ans, il a relevé ce défi titanesque avec une détermination à toute épreuve.
Arrivé au départ avec le dossard 123, Loïc, armé d’une préparation sans faille, a emprunté les pas de géants du trail. Là où, auparavant, il avait dû abandonner, il a cette fois-ci montré une résilience exceptionnelle, boostée par le soutien indéfectible de sa famille et de ses amis présents à ses côtés pour assurer la logistique et le ravitaillement.
Son parcours a su tirer parti de l’expérience transmise par sa lignée, étant l’arrière-petit-fils de la centenaire Théodorine Pons de Frescati, affectueusement surnommée « Mamie Zizou ». Ce lien ancestral semble avoir insufflé à Loïc la force nécessaire pour dominer cette course redoutable.
Le jeune kinésithérapeute, passionné de trail depuis trois ans seulement, s’est entouré d’experts pour parfaire sa préparation. Des séances de préparation mentale, des exercices physiques diversifiés, et une stratégie mûrement réfléchie pour surmonter les conditions climatiques capricieuses ont forgé une prestation impressionnante.
C’est donc après 55 heures et 6 minutes d’une lutte acharnée contre lui-même et la nature, que Loïc a franchi la ligne d’arrivée, non sans ressentir les blessures de chaque kilomètre parcouru mais aussi la fierté de l’accomplissement. Cette victoire personnelle, au-delà du chrono, est une ode au dépassement de soi et une affirmation indéfectible de sa passion.
Pour Loïc, ce n’est qu’un chapitre d’une histoire encore à écrire. Ses mots laissent présager d’autres aventures et objectifs à venir, mais une chose est sûre : la Diagonale des fous a trouvé en Loïc Cabanac l’un de ses héros les plus prometteurs.
